L’été, une aubaine
De boire à la femme fontaine
Marie Madeleine.
Par Sylvie :
Je vous salue Marie Madeleine
Que votre seigneur se donne la peine
Vous êtes bénie de cette douce haleine
Et, lui, que le fruit de son labeur ne le freine.
Par Sylvie :
Je vous salue Marie Madeleine
Que votre seigneur se donne la peine
Vous êtes bénie de cette douce haleine
Et, lui, que le fruit de son labeur ne le freine.
Je vous salue Marie Madeleine
RépondreSupprimerQue votre seigneur se donne la peine
Vous êtes bénie de cette douce haleine
Et, lui, que le fruit de son labeur ne le freine.