Dentelles de Martine
Débordantes de cyprine.
Antonio cornu.
Bai, déjà mis en ligne il y a 2 ans, mais satisfaction d'une histoire en peu de mots.
Un saint du calendrier vous démange ?
Ste Angèle et St Thomas
Elle est douée Angèle
Pour faire glisser sa bretelle
D’un air naturel.
Complété par Mme de K
Dans son rêve Thomas
Revoit la bretelle d'Angèle
Et son épaule nue
et aussi par Aurélie
Lorsqu'Angèle fait glisser sa dentelle,
Les joues de Thomas se teignent d'une couleur pastel.
et même Coumarine
Oh! chuchote Thomas
j'en suis tout baba
sens là... mon rutabaga...
et Mae
Moins douée Angèle,
Les pinceaux s'emmèlent
Quand surgit Raphael
Pour faire glisser sa bretelle
D’un air naturel.
Complété par Mme de K
Dans son rêve Thomas
Revoit la bretelle d'Angèle
Et son épaule nue
et aussi par Aurélie
Lorsqu'Angèle fait glisser sa dentelle,
Les joues de Thomas se teignent d'une couleur pastel.
et même Coumarine
Oh! chuchote Thomas
j'en suis tout baba
sens là... mon rutabaga...
et Mae
Moins douée Angèle,
Les pinceaux s'emmèlent
Quand surgit Raphael
Ste Yvette et St Hilaire
Contre la giclette,
D’un nœud bien serré, Yvette,
Elle lie ta quéquette.
Et de Berthoise qui préfère St Hilaire
Au cœur de l'hiver,
Il s'envoie en l'air, Hilaire,
Et en est tout fier.
D’un nœud bien serré, Yvette,
Elle lie ta quéquette.
Et de Berthoise qui préfère St Hilaire
Au cœur de l'hiver,
Il s'envoie en l'air, Hilaire,
Et en est tout fier.
Double acception
Soufflé par Jalexis (et pouvant éventuellement parfaire la culture d’Aurélie)
Cette double acception qui prête à confusion
qui fait que l’on confond un sot et un blason.
Quand derrière sa toison, l’un, vide, se morfond
et appelle de ses vœux un vit goureux et long,
l’autre, d’un ton sévère, tient des discours abscons,
trop plein de suffisance pour entendre raison.
Du premier nous disons, il faut ravir ce con.
Au second nous crions, vas-tu te taire pauv’con.
Cette double acception qui prête à confusion
qui fait que l’on confond un sot et un blason.
Quand derrière sa toison, l’un, vide, se morfond
et appelle de ses vœux un vit goureux et long,
l’autre, d’un ton sévère, tient des discours abscons,
trop plein de suffisance pour entendre raison.
Du premier nous disons, il faut ravir ce con.
Au second nous crions, vas-tu te taire pauv’con.
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