Un saint du calendrier vous démange ?

St Blaise - coming out

Il se pâme d’aise, Blaise,
Quand s’empale la népalaise
Sur son fier mélèze.

Au-delà du versiflage ci-dessus, je dois vous avouer quelque chose : j’aime Blaise Cendrars (même si, en réalité, il s’appelait Freddy). J’avais déjà laissé des indices ici, ici ou . Mais là, je ne peux plus me taire : c’est lui qui m’a fait découvrir le mot guesquel.


9 commentaires:

  1. Qu'il n'y ait pas de méprise : c'est un amour purement littéraire (et je serais bien emprunté avec un guesquel patagon)

    RépondreSupprimer
  2. Tiens, j'avais oublié.

    Pour le guesquel, j'en avais entendu parler, sans en voir jamais.

    RépondreSupprimer
  3. Mais...j'en ai dans mon labo...pour nettoyer les tubes à essai.....

    J'adore Blaise moi itou....tout Blaise, de ses poèmes mystiques à ses romans parfois délayés

    RépondreSupprimer
  4. berthoise : et alors, la vision rajoute, inquiète, fait saliver, coupe toutes les envies ... ?

    jalexis : viens que je te nettoie le tube à essai ? je ne sais pas si cela peut être classé dans le recueil des petites phrases romantiques ?

    RépondreSupprimer
  5. moi la vision m'interloque... d'après la description littéraire, je voyais des poils plus courts... il parlait de brosses... là j'ai du mal à...
    bon bref ! c'est pour les Patagons hein, pas pour nous !
    http://ouessantpatagon.blogspot.com/

    RépondreSupprimer
  6. mme de k : une bonne image est parfois meilleure que la meilleure des descriptions.

    RépondreSupprimer
  7. Puisque tu me poses la question, ça me laisse assez froide. J'ai du mal à associer l'objet et l'acte. Mais je dois manquer d'imagination.

    RépondreSupprimer
  8. berthoise : " j'ai du mal à associer l'objet à l'acte " il y a quelque chose à faire : et si on détournait un objet de son usage habituel pour enfaire un support d'imaginaire érotique ? J'y réfléchis.

    RépondreSupprimer
  9. Décidément on trouve sur la toile. N'empêche, comme "Madame de Keravel" je suis déçu. La page de Cendrars dans "Dan Yack" m'avait laissé beaucoup plus songeur.

    RépondreSupprimer